Eleni Group
- Paris -
- Île-de-France
Eleni Group est née de la rencontre de Pierre-Julien et Grégory Chantzios créateurs de la marque d’épicerie fine Kalios, avec le chef Juan Arbelaez. En 2017, ils ouvrent le premier restaurant
Yaya, à St-Ouen.
Dès l’ouverture, le succès est au rendez-vous. Dans cette continuité, les trois associés unissent leurs forces, leurs compétences et valeurs ajoutées pour créer Eleni Group en 2019 et imaginer des lieux et des expériences uniques dans l’hôtellerie-restauration et l’épicerie fine.
Le Groupe a démontré une forte capacité de création et d’imagination de concepts différenciants avec 11 marques créées allant de lieux expérientiels (hôtellerie lifestyle, expériences culinaires) à des marques premium à fort potentiel (Maison Kalios, Amadito).
Eleni sensibilise beaucoup ses équipes à l’optimisation des consommations de ressources et d’énergie, notamment en cuisine en coupant bien les appareils qui ne sont pas utilisés. D’autre part, le Groupe travaille avec l’entreprise RSW à l’installation d’optimiseurs dans ses restaurants avec un premier test effectué dans son établissement de St Ouen.
Eleni recycle l’intégralité des ses huiles usagées, qui sont collectées par une entreprise spécialisée. De même, des consignes sont appliquées sur certains emballages en accord avec les fournisseurs. Le Groupe a également banni le plastique à usage unique de l’ensemble de ses établissements.
L’ensemble des plats à la carte des restaurants du groupe sont préparés à partir de produits frais et de saison, au maximum d’origine française. Pour l’anecdote, le Groupe sert des produits de la mer, notamment le poulpe, mais seulement une partie de l’année pour respecter le cycle de reproduction du produit.
Par ailleurs le chef Juan Arbelaez cuisine régulièrement de manière bénévole pour des associations (Unicef, Premiers de cordée, Surfrider Fountation…)
Le taux de réponses retraitées est un indicateur calculé par l’équipe de gestion permettant de mesurer l’implication du management dans la construction de sa politique RSE.
La première partie du questionnaire évalue la performance environnementale, sociale et de gouvernance de l’entreprise. Dans la section environnementale, les sujets tels que la lutte contre le changement climatique, la transition vers une économie circulaire et la protection de la biodiversité sont évalués. La section sociale évalue des sujets tels que la promotion d’une croissance économique durable, l’égalité des sexes, le travail décent pour tous et la réduction des inégalités. Enfin, la section gouvernance évalue la qualité des relations avec le personnel, la promotion de structures de gestion et de rémunération saines, la diversité, la lutte contre la corruption et le respect des obligations fiscales.
La seconde partie du questionnaire se concentre sur des aspects techniques spécifiques à chaque secteur d’activité. Les questions sont conçues et adaptées pour évaluer les risques ESG auxquels chaque secteur est exposé. Ces questions sont adaptées pour chaque nouveau secteur entrant dans le portefeuille du fonds au moment de l’investissement.
Les méthodes de calcul utilisées pour mesurer l’empreinte carbone prennent en compte les scopes 1 et 2 en réel et le scope 3 en estimatif.
Le Scope 1 comprend les émissions directes de gaz à effet de serre (GES) provenant de sources appartenant ou contrôlées par l’entreprise, comme les émissions provenant des installations de production d’énergie et des usines, par exemple. Les données des factures d’énergie et les fiches d’écriture comptable sont utilisées pour collecter les informations nécessaires au calcul du scope 1.
Le Scope 2 concerne les émissions indirectes de GES provenant de la production d’électricité, de chaleur ou de vapeur consommées par l’entreprise. Les mêmes données des factures d’électricité de l’entreprise peuvent être utilisées pour collecter ces informations.
En ce qui concerne le Scope 3, il comprend toutes les autres émissions indirectes liées aux activités de l’entreprise, la méthode de calcul varie en fonction de l’ampleur des émissions et des données disponibles.
Ici l’entreprise a une émission totale de 3 900 tCO2 sur l’année 2022 soit 330 tCO2 par millions d’euros de chiffre d’affaires. Ses émissions de gaz à effet de serre correspondent à 2 200 allers-retours Paris – New York ou aux émissions annuelles de 400 Français. Par ailleurs, le scope 3 représente 99,6% des émissions totales de la société. Elle n’a ,par ailleurs, pas encore communiqué sur son bilan carbone 2023.